La chambre à coucher d’une dame était son sanctuaire intérieur. Elle y dormait, et avec l’aide de sa femme de chambre, elle entreprenait sa toilette, un rituel élaboré impliquant de s’habiller, de se coiffer et de se maquiller.
Une dame mondaine pouvait même recevoir des visiteurs qui venaient lui tenir compagnie et bavarder pendant qu’elle s’habillait. C’est ainsi que les nouvelles modes et coiffures se répandaient dans la société.